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Mercredi dernier (le 31 octobre) est sorti le dernier Tim Burton : Frankenweenie. L'exposition à la cinémathèque proposait déjà une bande annonce fort intrigante et alléchante.

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Frankenweenie narre les aventures "à la vie, à la mort" du petit Vincent Frankenstein et de son chien Sparky. Le jeune Vincent, 10 ans, est un peu à part. Féru de science fiction et peu sociable, il n'a d'autre véritable ami que son fidèle chien Sparky.

Hélas, un jour, Sparky décède tragiquement. Loin d'être la fin de l'aventure, le jeune Vincent va tout entreprendre pour ramenner à la vie son défunt chien. Si tromper la mort ne semble pas être un problème dans cette petite ville de New Hollandia, cacher la vérité est déjà beaucoup plus compliqué. Entre des camarades de classe curieux et un chien pas vraiment discret, le pot aux roses est vite découvert et c'est de début des ennuis. Les camarades commencent à mener leurs propres expériences et bientôt c'est la ville et tous ses habitants qui sont en danger. Ambiance psychose assurée. 

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Le scénario reprend scène pour scène le court métrage, en prises de vues réelles réalisé lorsque le jeune réalisateur n'en était qu'à ses débuts. L'histoire a été enrichie pour nous proposer une galerie de personnages tantôt loufoques, tantôt inquiétants et même parfois ridicules. Les rebondissements sont plus nombreux, ajoutant du suspens et de la profondeur. Le tournage en noir et blanc donne une touche à la fois retro et nostalgique à cette oeuvre. Pour ce qui est de la 3D, à part un peu de profondeur, cela n'apporte pas grand chose au film.

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Pour conclure, comme toujours avec les animations, on retrouve le grand Tim Burton. Le loufoque, celui qui ose, avec plein de reférences bien senties aux classiques du genre. Pour une fois qu'un revenant est attachant, on en redemande.

 


 

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